La seconde bataille sur Bizardos.

Prince(sse) Messages : 411 Date d'inscription : 08/08/2012 Age : 26

Je l'observa faire.

Que de la frime.

Elle ressemblais à ces hommes pour qui j'avais du travailler. Je soupirais de nouveau.
Finalement elle s'approcha de l'un de mes bourreau.

Tiens il est pas mort lui ?

Je l'entendis hurler et ne pus m'empêcher de sourir. IL méritait ce traitement. Mais je n'aurais pas aimé être à ça place.
Puis la Jaune pas si Jaune ce manifesta.

Ce qu'on doit faire ?

Personnellement j'avais envie de revoir cette belle brune et de récupérer Jack. Après, elles, elles pouvaient ce qu'elles voulaient. Mais je les suivrais. Parce que ça promettait d'être amusant. Je sourit de nouveau en observant les trois jeunes filles.

Et pas qu'un peu...

Que faire ? Bonne question ! Je regardais ma famille. Tous était alongé devant moi, attendant ma décision. Partir ou rester ? Je savais que tout les animaux me suivrait mais avais-je le courage de quitter ma grotte et de partir vers l'inconnu ?

- Vous faites ce que vous voulez.

Et je partis suivis des Griffeacérés. La femelle se pencha pour se débarasser de Tinariand. C'était étrange, la rue était déserte et dévasté, et une grande silhouette recouverte de noir s'éloignait, suivit d'une vingtaine d'énorme félin féroce. Je me demandais ce que penserait un observateur devant cette scène.

Non je ne pouvais la laisser partir sans moi! Elle m'aurais à ces côtés qu'elle le veuille ou non de toute manière je suis une experte en cueillette elle aurais besoin de moi. Je l’espérais.

-Attendez je viens avec vous. Que vous le vouliez ou pas. Et vous savez qu'une jaune ne lâche jamais l'affaire. Si vous le saviez pas maintenant oui!

Je serrais les poings et je mis à la suivre péniblement car j'étais pas habitué à marché de longues distances. Je voulais voir ce qu'elle verrai. Peut être un squickureuil se montrerai et nous "parlerai". Personne ne m'attendait à l'Essaim même pas mes parents de toute manière. J'avais un peu peur des griffacérés si ma compagne de route décidais de me tuer.

Je la fixais.

- Je peux aussi te faire dégagez à plusieurs kilomètre. Mais si ça t'amuses !

Plusieurs Griffeacérés se dispersèrent dans la forêt. Ils allaient prévenir tout le monde que je partais. Je souris. Qui m'aime me suivent ! Je récupérais quelques affaires de plus dans ma grotte. J'en avais très peu, tellement qu'elles tenaient toute dans ma sacoche.

-Même si vous le faites je vous poursuivrais.

Je la fixais avec insistance . Je ne lâcherai pas. Je voulais en savoir plus sur elle et ses pouvoirs. Un truc me disais que je n'avais encore rien vu.

-Et puis je suis adulte je fais ce que je veux non?

- Et si je décide de te tuer ? Tu fais ce que tu veux du moment que tu n'empiètes pas sur la libertée des autres.

Je detestais l'insistance et lui rendais un regard des plus glaciale. Qu'elle me suive ne me dérangeais pas vraiment, du moment qu'elle n'était pas dans mes pattes et qu'elle se débrouillait toute seule mais le fait qu'elle me "nargue" ainsi me saoulait.

Je vis son regard froid sur moi. je frissonnais. Je sentait qu'elle ne m'aimait pas des masses mais peut importe c'est l'aventure que je cherche pas l'amour. De toute manière mes cornes sont trop petites pour plaire.
Je soupirais et ne dis plus rien à l'Himago qui en avait marre de moi. Si elle veut pas de moi qu'est ce que je deviens moi?

Comme elle ne parlait pas, je fus intriguée. Je voulais savoir ce qu'elle pensait, bizarrement. Je me concentrais alors, déclenchant une autre capacité que je maitrisais très mal et qui me donnait toujours un mal de crâne affreux. Je me concentrais sur elle, captant ses pensés. J'arrêtais quelques minutes plus tard en serrant les dents, bonjours mal de crâne ! Elle pensait que je ne l'aimais pas et qu'elle ne plaisait à personne. Je me reconnu un peu en elle. La peur de ne pas être aimer... Sur une impulsion, je pris sa main.

- Allez, viens, on y va.

Je lui souris alors qu'elle me regardait, surprise.

Prince(sse) Messages : 411 Date d'inscription : 08/08/2012 Age : 26

J'observais les filles partirent et soupirais.

Bon.

Je m'approcha du désormais défunt homme à la cache torassique totalement défoncer et récupéra sa bourse.

« Tu la bien chercher. »

Celle ci était bien pleine et je m'en félicitait. Suite à ça je me dirigeait vers cher moi. En rentrant une masse blanche fonça sur moi et m'écrasa de tout son poids.

« Salle Bête » Fis-je en riant. « Tu vas me tuer un jours ! »

Nous nous mirent à nous battre dans le petit placard à balais qui me servait de maison.

« Désoler j’ai dû te laissa la mon beau. Mais maintenant sa iras ! Et pour me faire pardonner je t’offre de la dinde sécher se soir. » Je lui fis un grand sourire avant de le caresser.

Il avait de long poiles blanc et des yeux noir. Je l’avais recueillis plus petite et depuis il ne me quittait plus. Je me redressai et me dirigea vers le frigo pour un sortir une bierre et une bouteille d’eau et je versai cette dernière dans un grand récipient presque vide. Jack fonça dessus et bu à grande lampé. Je souris et pris une longue gorger de bierre.

Ça fait du bien.

J’observais Jack, parfois on aurait dit un Kruien*. Mais il était incontestablement un Griffeacéré.

Après avoir finit ma bierre je pris un sac de voyage pas trop grand et pratique que je remplie essentiellement d'arme en tout genre, plus certaine que je cachais partout sur moi. Je le remplie ensuite de quelques vêtement plus toutes mes économies en comptant la bourse de l'homme.
Je fit un tour dans le frigo et pris des sachet de viande et les 3 dernière canettes qui me restait.

Puis j’appella Jack et tout deux sortîmes de notre chez nous. On ne pouvais plus rester là.

Trop dangereux.

Puis j'accrochai un petit file transparent derrière la porte à une goupille de Grenade. Ainsi si l'armée décidait de venir cher moi pour me cueillir, ils aurait une petite surprise. Je fis un léger sourire avant de m'éloigner.
Le soleil commençait déjà à ce coucher. Ça avait été une longue journée.

Spoiler:

Non mais elle veut bien que je vienne finalement. Cette fille est pleine de surprise contrairement à moi. On lis en moi comme dans un livre ouvert. En même temps mes expressions faciales me trahissais toujours. Je fis un serment dans ma tête que jamais je la dérangerai et que je rompait cette promesse je me jetterai dans le feu du volcan. Foi d'écaille jaune pas vraiment jaune j'en faisait le serment.

-Ok on y va.

J'étais un peu rassurée.

Je levais la tête. La nuit s'éclairait. Dommage, j'aurais préféré commencer ma route de nuit, j'aurais été dans en posission de force, mes étranges yeux me permettant de voir comme en plein jour si jamais on nous ratrapaient. Après tout, nous emmenions l'écaille verte avec nous, leurs héros et sauveur. Bien fait pour eux. Je rentrais dans ma grotte.

- Vous feriez mieux de dormir, nous partiront ce soir, prenez des forces.

Je les regardaient s'installer et sortis. Les Griffeacérés montaient la garde mais ce n'était pas assez. Alors, je montais sur ma grotte et escaladait rapidement la petite montagne qui l'abritait. Arrivée au sommet, j'émis un long cris aigus qui fit plusieurs échos dans le ciel. J'attendais. Trois nouveaux cris plus tard, un vent énorme se leva et je m'acrochais à un arbre pour ne pas m'envoler. Je fermais les yeux à cause de toutes les petites pierres qui volaient. Puis, le vent s'arrêta. J'ouvrit les yeux.

- Bonjour, Didi.

Je m'aprochais de l'immense créature ailés, cause de ce vent violent. Une Dimeria. Une mère. L'animal le plus craint de toutes la création. Elle avait un long pelage d'un noir de jais et des yeux rouges, comme les miens. Elle devait mesurer dans les quinzes mètres de long-sans compter ses ailes- et une dizaine de hauteur. C'était la première créature à m'avoir considéré comme son enfant, m'ayant introduis dans son monde. La Reine de la Forêt que je me plaisait à appeler "maman". Elle baissa la tête pour me permettre de grimper sur son dos , ce que je fis. Elle s'envola alors et se posa devant ma grotte. Voila qui dissuaderait tout le monde de passer. Même les meilleures rouges la craignaient. Je souris.

Spoiler:

C'est vrai que dormir ne ferai pas de tord. Mais dormir où? Chez moi? Je pourrai récupérer quelques affaires et plantes médicinales que la brune Natua m'avait apprise à reconnaître. Je suis sûre à présent mes connaissances serait utile. Mes écaille avait repris leur couleur jaune. J'étais contente. J'espère qu'elle ne partira pas sans moi. Je tient à cette aventure.

-Alors je retourne chez moi et je récupère mes affaires et mon sac de voyage. Bonne Nuit.

Je me dirigeais chez moi et fis mon sac enfin je m'endormais sur ma couchette jusqu'au lendemain.

La verte n'avait pas bougé. Elle dormirait sans doute ici. Je ne lui avais pas encore demandé son nom, je le ferais plus tard. L'appeller "la verte" n'était pas très classe. J'avais faim. Je m'allongeais sur le dos de ma "mère" après lui avoir tout expliqué et sortais de la viande de ma sacoche. Je la dévorais à belle dents et et bu un peu de soda de ma composition.

Après la remarque et la pichenette de la rouge, j'étais resté en silence les mains sur le front, la regardant avec défi. Mais elle partit. Tss, les rouges sont forts mais pas très intelligents. L'esprit ? Elle voulait dire quoi par là ? Je suivais toujours celle qui m'avais sauvé - Akasha - et ne prononça plus un mot. Quand elle nous demanda de rester dormir, je me couchai. Mais la jaune partie, je me sentais seule. Je ne voulais plus être seule ! et puis, j'arrivais à dormir. C'était excitant d'être dehors en pleine nuit, pour la première fois de ma vie. Je sortis de la grotte et trouvais Akasha en haut, avec un grand oiseau. Je montai silencieusement et rapidement, la surprenant presque lorsque je dis :

- C'est qui ce grand oiseau ? Il est trop beau !

Elle n'aurait jamais dû faire ça. D'un grand coup d'ailes, le "grand oiseau " l'envoya valser plus loin. Je sautais et l'aidais à se relever.

- Mais tu es idiote ou quoi ? Sauter sur elle, comme ça, sans rien demander ! Tu ne sais pas ce qu'elle est ? Tu ne connais vraiment rien.

Je secouais la tête, totalement dépassé.

- C'est une Dimeria. Ce nom ne te dis rien ?

- Une quoi ?? Di... machin ?

La regardant mieux, je la reconnus.

- Ah ouaii ! J'ai vu un dessin de ça dans un livre. Je le trouvais déjà beau mais là c'est encore mieux !

Je me révaillais chez et pris mon sac pour voir Akasha. La vraie vie allait commencé enfin. j'avais hâte mon sac sur les épaules j'arrivais à sa grotte et je vis le Dimeria gigantesque. J'étais impressionnée encore une fois.

-Oh mais il est grand! Super!

- C'est surtout dangereux. C'est la créature la plus crainte et dangereuse qui existe. Alors évite de lui sauter dessus comme ça.

Je soupirais. Elle ne connaissait vraiment rien. Mais c'était plutot amusant. Je fixais la jaune qui venait d'arriver. Evidemment qu'elle était grande.

- Tout les Dimerias sont ainsi, tu n'en a jamais vue ?

- Moi non j'en ai jamais vu. A part un Chotonf* qui habite dans le château et quelques oiseaux loin dans le ciel j'ai jamais vu d'animaux.

A ses soupirs répétés, je me demandais si je n'étais pas une débile folle qui comprenais rien...

Spoiler:

Toute leurs éducations était à faire. Didi rit. Je la fixais. Elle se fichait de moi ? Je lui sautais dessus d'un bond, me propulsant avec une onde de choc et la pinçais. Ce qui ne faisait en faites que la chatouiller. Elle me fixa, comme si je n'avais rien fais. Ok, je suis nul. Elle me caressa gentiment la tête avec son bec. Je regardais les filles.

- Bon vous montez ? Vous attendez quoi, le déluge ?

-Celui-ci est plus grand que les autres! mais je monte dessus avec plaisir.

Je montait sur la maman de la forêt. et je m'accrochais du mieux que je pouvais. J'avais un peu peur mais je restait courageuse.

- oh oui ! Trop génial !

Je m'accrochai à Akasha comme je le pouvais, bien installé sur le Dimeria.

- En avant toooouuuuuute !

Caressant la tête de ma mère d'adoption, je pris un cachet dans mon sac et le lui donnait. Instantanément, plusieurs siège formé de ses longs poils sortirent de son dos. Je fis s'asseoir les deux filles et leurs les attachaient.

- Voila ! Vous ne bougerez pas comme ça.

Je montais sur la tête de Didi, me tenant à ses oreilles. Toutes les Griffeacérés étaient revenue. Tout le monde avait donc été prévenue. L'essaim n'aurait plus aucun animal aux alentours. Je souris.

- Tu es prête, Didi ? On y va ?

Elle s'envola alors avec un long cris.

- Wahouuuu ! avais-je crié en décollant. Voler, c'était tellement magique ! Jamais je n'aurais espéré faire ça. J'étais comme une folle sur le dos de l'oiseau. Puis je me calmai, me laissant bercer par le vent et regardant le beau paysage de si haut.

J'eclatais de rire à son cris. C'était mignon de voir quelqu'un qui s'extasiais sur tout et rien comme ça. Didi se mit à planer, et je pu la lacher. Il n'y avait que le décollage qui était difficile. Je me laissais glisser le long de son cou et atéris devant les filles.

- Vous voulez que je vous détache ?