la storia della famiglia Leone

Contexte:
Nous sommes en Italie à notre époque et le Parrain de la Famiglia Leone commence à être malade et personne pour lui succéder car la femme de ce dernier est décédé avant de donner la vie à son héritier naturel. Le boss se trouve bien embêter car s'il ne trouve pas quelqu'un pour prendre sa suite son domaine sera perdu et ses hommes seront jetés en prison sans aucun état d'âme par les forces de l'ordre. Il va sans dire que pour être un candidat il faut deux choses. La première: Faire partie de la Famiglia et la Deuxième; Prouver qu'on était digne de cet héritage prestigieux. Comment faire? Bonne question! Le parrain est près à voir toute sorte de choses. Un combat? En voilà une idée mais il devait mettre une règle "pas de combat à morts". Il ne manquerait plus que ses hommes meurent au combat. Fille ou garçon? Vieux ou jeune? Tout le monde peut participer. A la clé un grand château d'une centaine hectare. Une richesse non négligeable et le contrôle d'une petite ville touristique. Serais-vous capable de battre Alexendro le bras droit de ce cher boss?

Le Boss est fou? Sa maladie le rend gâteux ce n'est pas possible! Un combat contre Alexendro? Mais il fallait être suicidaire! Ce mec est juste pas humain tellement il excelle dans pleins de domaine. C'est le bras droit du Patron et je rêve de lui picquer sa place. Quoi je suis une fille? Tch vous êtes stupide de croire que je suis faible. Ma spécialité les armes à feu! J'en suis gaga.

Je passais ma main dans mes cheveux en rentrant de l'école en limousine. Pourquoi tant de bordel pour a peine 10 minutes de marche ? Non mais serieux... Enfin, je le savais pourquoi. Je suis l'unique fille du Parain, Xanthia Leone et quel fardeau ! Mon pere voulait que je reprenne le flambeau mais je lui avais vite retirer ses espoirs. Je voulais devenir medecin moi, non mais oh ! A 19 ans, j'avais deja commencé mes etudes alors hein... Je descendis de la voiture en soupirant et l'un de mes petits cousins me sauta dessus.

- Zee (prononcé Zi) ! Tu viens joué ?
- Pas le temps...

Je rejoignis mon père et l'embrassais.

- Bonjour, Zee. Tu as changé d'avis, n'est-ce pas ?
- Non, papa.

Toujours la meme question, quand allait-il comprendre ? Je ne voulais pas devenir comme lui.

Spoiler:

J'étais dans la cuisine comme d'habitude. Le chef cuisinier, le chef personnel de la Famiglia y était préparant à l'aide de ces comis et autres aide-cuisinier le repas du soir. Bien évidemment je l'aidait.
L'histoire de la succession du Parain n'étais inconnue de personne, et beaucoup espérait pouvoir prendre la place de notre chef actuel. Cependant leurs ardeurs était très vite réfréné par Alexandro. C'est vrai que cet homme était plutôt fort. Je ne l'avais jamais vu à l’œuvre mais beaucoup de rumeurs courait à son sujet.
Et sa réputation était faites. Je fronçait les sourcil plaçant le glaçage sur le gâteau que je faisais.
J'avais été recueillis par le cuisinier de la Famiglia. L'homme m'avait retrouvé dans l’incendie de ma maison. Seule survivante je gardait des séquelles physique de cet accident. Pour cause. Toute la partie droite de mon visage était recouverte de bandage ainsi que sur d'autre parties de mon corps. Je savais que j’effrayai beaucoup de monde avec ce physique immonde mais je m'en accommodait.
J’avais appris il y a peu que l'on m'appelais Amanite. Du nom du champignon laid et vénéneux. Car j'étais aussi spécialiste dans tout ce qui concernait les poisons et j'y était totalement insensible même si je restait toujours dans la cuisine ou dans mes quartier et que j'étais une inconnue de la Famiglia -C'était la seule conditions pour me garder qu'avais imposé le Parain. Sinon je devrait disparaître.- j'aspirais à aidé les personnes qui m'avais sauvé.
Même si pour moi c'était totalement impossible.
Je soupirais et finis la décoration du gâteau et la posais sur la table.

Spoiler:

Je soupirais et montais dans ma chambre pour commencer a reviser. J'eu soudain faim et redescendit pour me rendre au cuisine. Je vis alors une jeune fille, portant plusieurs bandage. Je ne l'avais encore jamais vue...

- Euh... Salut. Désolé, je croyais qu'il n'y avait personne a cette heure. Je ne vous derange pas ?

Je sursautait en entendant quelqu'un arriver. J'étais encore entrain de m’entraîner à la cuisine.
Je levais les yeux vers la personne qui venait d'arrivé et la reconnue immédiatement. La fille du parrain. Celle que je ne devait absolument pas croisée. Je détournais la tête. Pour pas qu'elle me voit.

« Que puis-je pour vous ? »

J'avais parler en fiction ma préparation. Je ne voulais pas que tu puisse me reconnaitre.

Je m'approchais un peu.

- Ne vous derangez pas, j'ai juste un peu faim. Que faites-vous ? Ca sent bon...

Je te lançait un coup d’œil.


« Des Macaron... » J'avais a peine lever les yeux vers toi en disant cela. Puis je pointait mon doigts vers un des grand frigos. « Il y a de quoi manger à l’intérieur. Prenez ce que vous désirez mais ne restez pas ici. Ce n'est pas autorisé à cette heure.» Je parlais comme un robot sans te jeter un regard concentré sur le mélange que je battait au fouet depuis un moment.

Je fis ce qu'elle me disait mas m'assit devant elle et commencais a manger en la regardant. Elle m'intriguait... Un peu.

- Vous etes nouvelle ? Je ne vous ai jamais vue...

Ca expliquerait pourquoi elle avait l'air si timide face a moi.

Je continuais à mélangé ans t'adresser un regard.


« Non ça fait longtemps que je suis ici. » Je soupirais et étalais ma préparations comme il fallait sur ma plaque.

- Oh... Et vous vous appelez comment ?

Je froncais les sourcils, sois elle etait vraiment timide, sois je l'ennuyais prodigeusement.

Je levai les yeux vers toi.

« Je n'ai pas l'autorisation de divulgué ce genre d'information. Je suis désolée madame. » J'avais rebaisser les yeux en disant cela.

Je la devisageais.

- Pardon ? Mais vous pouvez decidez vous-meme de devoiler votre prénom quand meme ! C'est quoi ce bordel ?

Je grimacais.

- Ne m'appeler pas Madame, j'ai un nom.

Mes mains s'arrêtèrent et je levai de nouveau les yeux vers toi te fixant.

« Ma vie ne dépend pas de moi. »

Puis je penchai la tête légèrement la tête sur le côté.

« Je sais très bien qui vous êtes Madame Zee. Mais nous ne sommes pas du même rend. Je vous doigts le respect dû à votre statut. »

Ma voix était neutre. J'avais appris depuis petite à parlé de manière détachée.
Mes mains avait cesser de s’activer et je t'observais toujours.

Je me tu un moment, choquée.

- Non mais c'est quoi ses conneries là ?! On est tous du meme rang, c'est n'importe quoi, je ne suis pas plus digne de respect que vous !

Et c'etait partis. Mes coleres etaient legendaire ici.

- Je suis juste Zee ou Xanthia, je ne suis pas "Madame" ! Et votre vie n'appartiens qu'a vous, bordel !

c'etait surement mon pere qui avait donné ses ordres. C'etait bien son genre tiens !

- Il va m'entendre celui-la; marmonnais-je.

Je t'observais, j'eus un sourire amusée par cette réaction. Je me doutait un peu qu'elle réagirait comme cela.


« Mademoiselle si vous préférez. Mais je vous trouve bien prétentieuse, vous ne savez rien de moi. »

Je te souriait toujours un sourire faux et très peu naturel. Je jetais un coup d’œil à l'heure.

- Non, pas mademoiselle non plus ! J'ai un prénom, merde ! Je me fout de ne rien savoir de vous, on ne traite pas les gens ainsi ! Je ne vois pas en quoi c'est etre pretentieuse que de se revolter contre ce genre de procédé !

Elle se foutait de moi en plus ?

Je t'observais, soupirais, rangeant doucement mes ustensiles et la pâtes dans le frigos en vue de terminer plus tard.


« Mais peut être que je mérite que l'on me traite ainsi. » Je tournais la tête vers toi. Tu pouvais seulement voir la partie de mon visage non recouverte de bandages. « Je suis peut être... Une personne horrible. Un monstre ... ? » Je te fit un triste sourire avant de tourner la tête vers le frigos.

- Meme si vous l'etiez, ceux que je ne pense pas, ce n'est pas une raison.

Je me calmais un peu.

Je fermais le frigos dans un petit claque restant d'abord dos à toi.

« Malheureusement les pensées d'une seule personne ne suffise pas. » Je lâchais un soupire avant de me tourné totalement vers toi.
« Excusez moi de vous presser Mademoiselle mais les commis vont bientôt arrivé pour nettoyer la salle. » Je t'observais debout la tête légèrement pencher sur le côté.

Je serrais les dents.

- Je ne bougerais ni ne vous lacherais pas tant que vous m'appellerez ainsi.

Et j'etais tetu.

Je fronçais les sourcils. Ne comptant pas lâcher prise non plus.

« Mademoiselle cela ne dépend pas de moi. » Je soupirais. « Nous pourrions avoir des problèmes toutes les deux...» Puis je tournais les yeux vers la porte et murmurais. « Enfin surtout moi... » Un nouveau soupire m'échappais.

Je restais impassible.

- C'est bete... Mais ne compter pas vous debarrasser de moi aussi facilement.

Je te jetait un coup d'oeil.

« J'ai crus comprendre oui. »