Les enfants du Vahalla : (Prologue) L'or du Rhin ou le secret de Siegmund et Sieglinde

Un autre rpg de moi ! Mais cette fois le thème sera sur l'époque nordique avant l'arrivé du christianisme et bien sûr ce sera fantaisie et intervention des dieux du panthéon nordique. Basé sur l'Anneau des Nibelungs de Wagner et des dieux du panthéon nordique ainsi de d'autre oeuvre entourant les dieux du Vahalla et de Siegfried, ce rpg regroupera un prologue et trois rpg qui seront séparé sous quatre appellations différente. L'histoire se base autour de Siegfried et de Sieglinde qui ici sont comme dans Wagner les enfants d'Odin mais dont leur père ne leur a pas dit leur identité encore et aussi le destin qui doit lier Siegmund à empêcher l'écroulement du panthéon d'Odin et ses semblables. Cela dit, c'est un rpg libre et donc oui Siegfried et Siegmund sont prît par moi, comme la fille de Loki par Pain (c'est en faite Hell déguisé en mortelle et c'est la déesse de la mort) et Sieglinde par Phé mais sauf que les persos qui seront prît (Alberich le nain et Mime, le dragon Fafnìr, Odin, Gunther roi de Burgondie (oui un autre Gunther ^^), Brünhill la walkyrie préféré d'Odin et bien sûr amante de Siegfried ^^ et demie-soeur de Siegmund et Sieglinde. Tout au long de cette saga rpg, vous trouverez plusieurs dieux et de personnage qu'est la mythologie nordique, une riche culture religieuse et littéraire.

Selon les anciens, la fin du monde serait annoncé par le dieu qui réside sur le plus haut sommet du monde et de son cor avertirait les Hommes et les Dieux du combat de tout les temps. Mais pour Siegmund cela ne signifie rien. Cet homme vivait avec sa famille dans un grand village qui faisait face à la mer et aux forêts alentours. Sa soeur Sieglinde et lui était tout deux jumeaux et ils vivaient avec son père Gunther et leur mère Fricka dans la grande résidence du chef du village. Gunther était le chef des habitants de ce grand village et il descendait selon les dires du dieu Odin qui aurait engendré d'une géante. Tous dans le village respectait cet homme. Gunther était un homme aimable, chaleureux, gentil avec quiconque. Sa femme Fricka était une bonne mère et une grande femme intelligente et pleins de talents pour la poésie. Tandis que Siegmund et Sieglinde, ces deux-là était inséparable et ils étaient les meilleurs amies du monde. Un matin du mois d'octobre, ils se rendirent ensemble au marché pour rejoindre leur amis.

Elle traversa le marché comme une ombre, recouverte d'une longue cape noir. Elle vola une miche de pain discrètement et partis en courant. Elle fuyait, se cachait, tout le temps. Tous la rejetaient et la persécutaient, simplement car elle était la descendante de Loki. Alors elle ne faisait que des bêtises, pour coller a sa réputation, pour qu'on fasse attention a elle. Soudain, elle buta contre deux jeunes et écarquilla ses yeux rouges sang alors que sa capuche tombait, dévoilant ses cheveux blanc comme la neige.

Siegmund avec sa soeur jumelle Sieglinde fût heurté par quelqu'un. Celle-ci avec son manteau noir et sa capuche pour se recouvrir de la tête au pied. Siegmund observa la fille aux cheveux blancs puis se demanda bien pourquoi une si soudaine agitation.

- Es-tu correcte ? Tout vas bien ?

Elle ne comprit pas ce qu'il disait et ne pu repondre. Personne ne lui avait jamais appris a parler. Les gens autours la devisageait, commencant à murmurer.

- C'est elle ?
- Oui... Le monstre. N'approchez pas d'elle !
- Degage, sale dechet !

Ca par contre, elle comprenait. Elle leurs jeta a tous un regard de défi mélé de souffrance et de peur puis fixa son regard sur les deux jeunes alors que les caillou et divers objets commencaient a pleuvoir sur elle.

Les gens autours de Siegmund et de sa soeur commençait à garocher divert objets sur la jeune fille aux cheveux blanc.

- Cessez de lui tirer des roches sur elle ! C'est un ordre du fils de Gunther qui vous le dis !

Les gens cessèrent sous la voix de Siegmund, de peur que Gunther soit irrité par cette façon de juger une étrangère. Siegmund se pencha vers la jeune fille aux cheveux blanc.

- Quel est ton nom jeune fille ?

Le fils de... cet homme ? Alors lui aussi etait comme elle ? Non, lui etait "gentil". Elle le fixa avec un melange de haine et d'interet. Un villageois pris la parole :

- Ne cherche pas petit, elle ne sais pas parler. Elle ne doit meme pas comprendre ce que tu dis. Et tu ferais mieux d'eviter de lui parler a ce monstre, meme ton pere te le dirais.

Si elle comprennait... Un peu.

L'homme lui mettait en garde contre cette fille.

- Peut-être mais mon père en serait reconnaissant de venir en aide envers quelqu'un, même si on la juge différente de nous. Si vous avez quelque chose à dire d'avantage faite-le, sinon partez et laisser là tranquille.

L'homme rit.

- Oh non tu te trompes ! Elle n'est pas "differente", c'est un pur Démon, enfanter de deux pères Maléfique ! C'est ton père qui nous en as informé et nous a dit de l'eviter ! Elle est dangereuse !

La jeune fille les regardaient tour à tour et fini par les contourner pour poursuivre sa route sous les injures des commercants, remontant sa capuche sur sa tête.

D'autre villageois commençaient à s'approcher d'eux.

- D'un démon ? Vous parlez du dieu déchu Loki ?

- Oui. Elle est le resultat d'un acte abjecte entre une humaine et Loki et Hadès. Il ne faut pas l'approcher.

Tout les vilageois réunis pousserent des cris de terreur et des murmures effrayé traverserent la foule.

Spoiler:

Spoiler:

Les villageois poussèrent des cris et des murmures d'effrois face à la réponse du forgeron.

- Depuis quand elle est parmi nous ?

Siegmund s'était relever quelque minutes après que la jeune fille soit enfuit.

- Depuis sa naissance je suppose...

La jeune fille n'etait pas partis tres loin et ecoutais tout, les dents serré.

Siegmund ne comprenait pas le comportement des villageois face à lequelle cette fille est dangereuse.

- A-t-elle un nom ?

- Démon ? Déchet ? Monstre ? Je ne crois pas, personne ne lui en a jamais donné.

Oh si elle avait un nom, mais elle le gardait secret au plus profond de son coeur. Jamais elle ne le diras à ces vils personnages !

Elle devait surement avoir un nom. Mais ce n'était pas le moment de la chercher car Siegmund avait autre chose à faire avec sa soeur.

- Merci pareil pour l'information forgeron.

Puis celui-ci avec sa soeur quitta les lieux en direction de la maison du grand chef.

(Eh oui double-post x) )

Pendant ce temps quelqu'un part dans la contrée de l'Allemagne, le Rhin coulait avec harmonie. Trois filles jeunes et belle s'amusaient dans l'eau peu profonde. Elles étaient les nymphes du Rhin, les trois filles du fleuve. Le plus souvent elles chantaient, se donnait à coeur joie aux batailles les plus folles ou jouait avec l'Or du Rhin. Comme pour les nymphes qui gardaient le trésors d'Ulysse à Ithaques, elles étaient avant tout ces jeux gardiennes de ce trésors qu'elles chérissait avec tendresse. Ce jours-ci du mois d'octobre allait rester un grand crime pour le Rhin.

En cet après-midis d'une journée sans nuage et d'un bleu-ciel superbe, elles firent comme d'habitude de chanter. Plus loin un homme s'approchait d'eux. C'était un nibuleng, un nain des profondeurs de la terre. Il s'appelait Alberich et il avait envie d'un désir profond de conquête de métaux, de valeur précieuse. Lorsqu'il aperçu les filles, il s'approchait d'eux. Avec un crie horrifié elles virent une créature affreuse.

- Oh ! Oh ! Qu'est-ce que c'est ?!, s'écrièrent-elles.

- Je suis Alberich qui recherche l'amour.

Puis les trois filles éclatèrent de rire. L'une d'elle prit la parole.

- Et pourquoi un nain viendrait ici pour nous parler d'amour ?

- Parce que l'amour a un sens et une valeur comme l'or et l'argent.

La nymphe resta surpris de cette réponse. Puis elle continua de le narguer.

- Depuis quand les nains sauraient parler d'amour à des filles vierges ?

Les deux autres filles éclatent de rire. Furieux, Alberich essaye de s'expliquer.

- Je vous le dis que je vous trouvent belle et je suis amoureux de vous !

Les deux filles continuèrent de rire.

- Alors si tu nous aimes, comment vas-tu faire pour nous charmer ?

- Eh bien par de bel parole je présume ?

Les deux nymphes éclatèrent encore de rire. Alberich ne pu retenir sa frustration.

- Si c'est comme ça je vous poursuivrais !

- Essaye donc de nous avoir !

Les nymphes se mirent à courir de tous les sens, tandis que le nain essayait en vain d'en attraper une. Puis il vit quelque chose briller dans le fond de l'eau. Arrêta sa course, il plongea dans l'eau. Après quelque minutes, il remonta à la surface et s'écria.

- L'or du Rhin ! L'or du Rhin ! Je le jure que vous serez maudit de ne pas m'avoir aimé, nymphes !

Puis elles s'écrièrent par la terreur de voir leur objet dérobé. Alberich s'enfuit en riant de ses plans d'utiliser ce métaux et de fabriquer un anneau qui servirait sa puissance.

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Siegmund et Sieglinde était en route vers leur maison. Siegmund n'arrêtait pas de penser à la fille de tantôt qu'il avait vu au marché. Qui étaiit-ce cette fille ? D'où venait-elle ? Il ne l'avait jamais vu et surement sa soeur non plus. Tout en marchait il songea à cette étrange renconte.