Les Tudors

J'ai eu une idée de lancer ce RPG sur les Tudors et le règne d'Henry VIII. Pour ceux et celle qui ne sait que faire, je vous conseil de vus renseignez sur la série les Tudors (même je vous conseil d'écouter en anglais, ce qui vous ferra pratiquer x) ) et d'aller faire un tour sur Wikipédia et de lire sur Henry VIII. Le RPG en soit est inspiré de la série les Tudors, cette série s'inspire de fait réel et de fait historique inventé ou déplacé ou modifier même. Ce sera le cas ici même, nous allons débuter sur l'époque où Henry est jeune et qui est encore marié avec Catherine d'Aragon (Anne Boleys doit pas apparaître tout de suite, je vous ferrais signe lorsque quelle devra apparaître, sinon ça va déséquillibrer le RPG xD), le cardinal et chancelier Thomas Wesley est déjà là, Thomas More aussi, il y a aussi pleins d'autres personnages qui sont déjà présent et d'autre apparaîtrons plus tard. Ah et je vous conseil de lire la page Wikipédia de la série les Tudors, vous lirez que comment certains personnages, chronologie et autres ont soient été modifié, inventé ou changé. Aussi lisez bien la page sur Henry VIII pour vous mettre dans cette époque, sinon vous allez mal suivre le RPG.

«Vous pensez connaître l'Histoire, mais vous ne connaissez que la fin, pour en atteindre le coeur, il faut commencer du début»

Londre, palais royal.

Une foule de personne se propage parmi les couloirs du palais résidentiel d'Henry VIII. Parmis eux, se trouve le cardinal Wesley et son fidel et loyal serviteur, Thomas More. Tous deux se dirigent vers la salle du trône, là où la réunion du conseil souverain doit avoir lieu ce matin du mois de juillet. Le duc de Norfolk, Thomas Howars, 3e duc de Norfolk est présent, Charles Brandon aussi, le duc de Buckingham est présent même ainsi que Thomas Cromwall et William Compton. Ces personnages sont d'un secour pour le roi d'Angleterre, mit à part l'étrange lueur dans les yeux du duc de Buckingham qui n'aspire qu'à de sombre projet : assassiner le roi Henry. Lorsque Henry (oui je joue le rôle d'Henry VIII) sort de l'anti-chambre, la foule présente dans la salle du trône applaudit l'arrivé majestueuse du roi. Un des courtisans de la cour d'Henry s'avance et fait le salut important vers le roi. Henry s'assit sur son trône puis d'une voix forte pour que tout le monde puissent l'entendre, entonne ces paroles pesante de colère.

- Mes lords et gentlemans, j'ai sus que depuis deux semaines même une semaine que mon oncle a été assassiné par les Français. Quel outrage et quel effort de plans a-t-il voulut entreprendre, voir viser mon oncle ? Pourquoi le roi de France aurait songé de faire ce complot contre ma couronne ? J'exige que vous me faite part de vos conseils, plans, complots ou autres façons d'agir contre François le roi de France.

L'un des nobles présent dans la salle prit la parole.

- Si sa Majesty peut comprendre mon plan, je vais lui en faire part tout suite. Nous pourrons envisager de comploter contre ces chiens de français votre Majesty, si vous voulez bien.

Un autre vacarme d'applaudissement se fit entendre.

- Il est intéressant de savoir que François doit pas s'attendre à ce que je vais décider aujourd'hui. Aujourd'hui nous allons débattre, nous allons montrer à ces français que les anglais ne sont pas des bâtards de chien sale !

Un autre vacarme d'applaudissement se fait entendre dans la salle. Puis le duc de Buckingham prend parole.

(Qui sera le duc de Buckingham ?)

Administrateur Messages : 885 Date d'inscription : 07/07/2012 Age : 27

Catherine d'Aragon se trouvait entourée de coiffeuses, et contemplait pensivement son image dans la coiffeuse. Son visage soucieux attira l'attention d'une des servantes.

- Quelque chose chagrine Madame dans a coiffure ? demanda innocemment la jeune fille.

- Cela n'est rien, laissez-moi seule, répondit laconiquement la reine. Ses pensées étaient entièrement tournées vers le Roy qui viendrait c'était certain, la voir une fois le conseil achevé. Que feraient-ils ?

Le duc de Buckingham prit parole à l'instant même.

- Si sa Majesté veut bien, je propose quelle puisse tenir un conseil avec le roi de France concernant cet évènement et d'y en tirer au clair cette étrange tragédie. Si le roi de France ne veut pas tenir un conseil judicieux avec sa Majesté, alors que le roi de France puisse compter ses derniers jours !

L'assemblé réunie acclame un applaudissement des plus puissant.

- Et j'espère que le roi des français puissent comprendre que l'Angleterre ne se mettra pas à genoux devant qui que ce soit !

Applaudissement encore.

- J'avoue que ton idée n'est pas si stupide, duc, mais je ne me permettrai pas aux français de s'en tirer une belle avantage sur cet assassina odieuse. Quoique je fasse, je ne puis sombrer mon royaume parmit une autre guerre qui viderait les fonds du compte royal.

Les nobles applaudissent encore un fois.

- La plus sage décision serait de convoquer une réunion avec la France, et j'espère quelle va me donner des explications quant à la mort de mon oncle. Si elle refuse, nous aurons de bien maigre relations de pays. Je n'envisagerai pas, à moins qu'il le faut, une guerre contre la France de Francis.

Des applaudissements se firent entendre. Puis le cardinal Wosley (ou Wesley) prit la parole.

- Majesté, je crois que le fait que vous soyez marié avec sa Majesté la reine Catherine d'Aragon montre la jalousie que peut avoir la France à l'égard que vous soyez marié avec une grande puissance qu'est l'Espagne. Si la France est jalouse, alors pourquoi avoir faite une tentative de meurtre envers l'oncle de sa Majesté ?

On applaudissait encore. Henry se leva.

- Je veux le savoir, cardinal Wesley, je veux savoir pourquoi un tel geste envers la cour d'Angleterre ! Mais bon, vous savez, nous ne réglerons pas ce débat aujourd'hui avec tant d'agitation qu'on aurait dit un combat de coq !

On éclata de rire et on applaudissait. La séance était levée. Dans le départ de tout cette foule, le cardinal Wesley entraîna Thomas More un peu plus loin, seul à seul.

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Henry marcha dans le couloir qui menait aux appartements de la reine. Escorté de ses serviteurs, il arriva et ouvrit la porte de la chambre de la reine. Les servantes en sa compagnie lui fit une revérence et laissait le roi et la reine seuls.

- My Lady, est-ce que vous êtes prête à participer à une promenade de compagnie ?

Malgré les années que Henry tentait d'avoir un fils d'elle, malgré ces derniers temps que entre le roi et la reine il y avait tension et calme, il restait respectueux avec elle.

Administrateur Messages : 885 Date d'inscription : 07/07/2012 Age : 27

Un sourire distingué accroché à ses lèvres délicatement réhaussées de rouge accompagna sa réponse à son époux et Roi.

- Bien évidemment My Lord. approuva-t-elle en se levant majestueusement.

Henry prit la main de Catherine et l'emmena dans les jardins du palais. Acompagné de ses gardes du corps, ils sortirent du palais par le côté est et pénétrairent dans les jardins où fontaine, arbuse et fleurs se mélangeait. Pas très loin de là on pouvait distinguer des voix de dame ainsi celle d'une jeune fille de 9 ans. Lorsque le couple royal arriva dans le bosquet où une fontaine en rond point était le seul décor des lieux sans compter les murs de haie, une petite fille se dégagea des dames.

- Maman ! Papa !

Mary la fille d'Henry et de Catherine d'Aragon était contente de les voir.

Administrateur Messages : 885 Date d'inscription : 07/07/2012 Age : 27

Un sourire se peignit sur les lèvres poudrées de la Reine, et elle serra brièvement la main de son époux. S'ils n'avaient pas de fils, cette enfant faisait tout de même leur joie commune. Elle s'avança toujours au même pas vers l'adorable fillette royale et lui parla d'une voix sage mais maternelle.

- Et bien Mary, que faîtes-vous donc ? Une promenade ? elle prononça ce mot en français pour faire rire la petite.

La petite Mary prît la main de la reine puis incapable de contrôler son envie de faire un câlin à sa mère, lâchait la main de la reine et se réfugia auprès de sa robe et serra la robe de Catherine avec tant d'amour.

- Parce que je t'aime maman, dit-elle en français avec un accent anglais.

Puis Henry prît la petite Mary et la serra contre sa poitrine.

- Vous m'avez manqué énormément jeune demoiselle, dit-il en un français cassant.

- Toi aussi papa !, s'exclama Mary toute en souriant.

Puis Henry reposa sa fille à terre.