La seconde bataille sur Bizardos.

Nous avions attendus longtemps à la forge. Mais l'homme semblait prendre son temps. OU être en difficulté avec notre commande.
J'allais me redresser pour aller faire un tour quand soudainement Akasha, en chaire et en os, apparut devant nous.
Tout d'abord j'écarquillais les yeux de surprise. Croyant rêver, me faire des films où autres. Mais elle semblait bien réelle. ET épuisé.
Cependant l'émotion laissa très vite place à un autre sentiment. Et je fronçais les sourcils. Sans dire un mot je me jetait sur elle. L’attrapant par le cols.
Je savais très bien qu'elle était beaucoup plus forte que moi. Mais en cet instant je m'en fichait.
Je la plaqua contre le mur en plongeant mon regard dans le siens. Nos visages n'étaient qu'à quelques centimètre l'un de l'autre.
J'ouvrais la bouche comme pour dire quelques chose mais aucun mot ne sortais, et une lueur d'émotions traversais mon regard.

Je me laissais faire sans bouger un cil. Au bon d'un moment, je lachais d'une voix epuisé :

- Tu crois pas que je suis assez amoché comme ça, Akio ?

Du sang s'ecoula de ma bouche et je soupirais.

- J'suis désolé mais on avais pas trop le choix... Puis t'facon, j'pas eu le temps de te manquer, meme si ca fait plusieurs mois la bas, ca ne fait que quelques heures ici...

Je la poussais peut etre un peu a bout la, elle allait finir par vraiment me frapper...

Même si t'es blessures m’inquiétait mon regard brilla d'une sourde colère à ces mots et mon poing vint frappé le mur de pierre à coté de ta tête.
Oubliant momentanément ma force nouvelle, je ne lavais pas contrôlé suffisamment et le mur se fendilla et pas qu'un peu. Mais ma colère était trop présente pour que cela puisse m'en détourné et je gardais mes yeux rivé dans les tiens.

« Cherche tu vraiment à m’énerver ? » Ma voix était froide. « Ou peut être que cela t'amuse, d'inquiéter les gens autour de toi. De mourir avant de réapparaitre comme une fleure, comme si tu étais simplement partie quelques minutes? » Je ne contrôlais pas mon flot de paroles. J'étais en colère. Très en colère.

Je la fixais dans les yeux.

- Je peux repartir si tu veux ? Je peux meme briser mon épée, ainsi je ne reviendrais jamais.

Je penchais la tete de coté.

- Excuse-moi d'etre heureuse d'avoir reussis a revenir au bout de plusieurs moi d'horreur et de vouloir etre insouciante apres apres vue toutes ses horreurs. Mais vas-y, sois colère, tu peux meme me frapper si cela te soulage.

Je cillais à ces paroles, mais ma colère était toujours présente. Alors doucement je leva le poing que j'avais précédemment balancer contre le mur.
Mais contre tout attente au lieu de te frappée je posa ma main sur tes yeux et quelques secondes après tu pus sentir mes lèvres qui pressais les tiennes. J'avais glissé ma main contre ta taille et te serrais doucement contre moi. De manière possessive.
Après seulement quelques secondes des larmes coulèrent sur tes joues, venant tout droit de mes yeux obstinément clos.

Si peur...

Elle s'embrassait enfin après tout ce temps, je n'osait plus l'espérer. J'ignore comment elle s'y est pris mais la revoilà pour le meilleur et le pire. Le voyage vers notre avenir allait continué.

-Tata Aka!!!!!!!!!!

Tsukali sauta sur Aka me laissant seule avec mes pensées.

Je deglutis lorsque je sentis ses levres et mes bras s'enroulerent autours de sa nuque. C'etait trop bon. Soudain, je sentis quelque chose de mouillé. Hein ? Je la repoussais un peu et vis qu'elle pleurait. Hein ? Akiko ? Pleurer ?

- A-Akio ? Hey...

Instinctivement, je la serais contre moi, caressant doucement son dos.

- Pardon...

Tsukali me sauta dessus. Je le laissais faire et regardais les filles su coin de l'oeil. Je leurs fit un petit signe de la main avec ne mine contrite, serrant toujours Akiko contre moi.

Je te laissais me serrer contre toi. Des rares larmes ruisselant sur mon visage.

Putain.

« Je suis une Rouge, je ne devrais pas pleuré. Je suis tellement faible. » Ma voix était éreinté, fatigué. Avoir ressentie temps d'émotions différentes m'avais complètement vidé.

Cependant je te serrais contre moi, comme si j'avais peur que tu t'en aille.

De nouveau.

- Pleurer est naturel, Rouge ou Vert, Démon ou Himago. Ca fait du bien...

Je caressais ses cheveux et embrassais sa joue, je ne savais pas vraiment comment réagir face a ça.

- Je suis vraiment désolé...

Elle me serra plus, comme si j'allais m'envoler. Je lui avais fait si mal que ca ? J'etais trop bete...

J'enfouis mon visage dans ton cou.

« Pas pour moi... »

mes bras ne bougeait je restais ainsi sans bougé.


« Je t'interdis... Je t'interdit de me refaire un coup pareil... »

- Oui, oui.

Je ne voulais pas la contrarier meme si je n'etais pas d'accord.

- D'accord, pardon...

Je pris une grande expiration et m'écartait. Toute trace de larmes avaient disparut. Et j'avais repris mon air habituellement non-chalant. Seuls mes yeux pouvais attesté de ce qui c'était produit.

« Va voir les autres, elles ont été inquiétés aussi. » Je te fit un sourire amusée. « T'es vraiment populaire comme fille. »

J'avais les mains enfoncer dans les poches de mon jean et t'observais toujours.

- Mais... tu voulais me parler non ?

Oh et puis, plus tard, j'avais envie de les voir aussi. Je me mis sur la pointe des pieds et deposais un leger baiser sur ses levres.

- Je t'aime, Akio...

Puis je rejoignis les filles, les serrant toutes deux dans mes bras.

J'observais les tris filles de loin. Puis je me retournais et m'éloignait quelques peu pur caché mon visage ou les larmes étaient passées. Je frottait doucement les yeux avant d'inspirer à fond en penchant la tête en arrière pour voir le ciel.

Elle est là.

J'eus un léger sourire.

Je serrais les filles contre moi, leurs expliquant simplement que j'avais gagné des pouvoirs. Je revint vers Akiko.

- Alors, que voulais-tu me dire ?

Je sentis la détresse de mon amie et fut sur cet homme en un millième de seconde. J’attrapais son cou et le soulevais du sol, le fixant dans les yeux, mes yeux reflétant les tourments des Enfers eux-même.

- Qui t'as autorisé à la toucher, raclure ?

Je ne le laissais pas répondre et serrais plus fort. Le pouvoir me tournait la tête, cette sensation de contrôler la vie. Si bon... Je serrais un peu plus alors qu'un sourire sadique se dessinait sur mes lèvres.

Je l'observais revenir vers moi. Elle me osais cette question. Je me demandais si je pouvais vraiment lui dire ça. Au moment ou j'allais dire quelques chose j'entendis un grand bruit là ou ce trouvait la Princesse. Je levais les yeux mais Akasha avait déjà disparut.
Alors en courant et les rejoignit.
La Princesse était assise au sol contre le mur et semblais terrorisé. Je levais mes yeux vers Akasha qui tenait l'homme par le cou. IL était facile de s’imaginer la ce qui c'était produit.
L'homme suffoquait et semblait a son tour terrorisé. Alors je m'approchais de Akasha et posais une mains sur son épaule.

« Akasha lâche le. » Je faisait pression sur ton épaule.

Souriant toujours, je repondis simplement :

- Non.

Je m'amusais a lui laisser un peu d'air puis a resserer ma prise. Il ne me donnerait aucun pouvoir mais c'etait si bon de le torturer ainsi... Mes yeux brillaient d'une lueur de folie et mon sourire s'agrandit. Je devais vraiment ressembler a un Démon là.

Je soupirais. Resserrant encore mon emprise sur ton épaule.

« Akasha si tu ne lâche pas je vais de-.... » Soudainement j’eus une idée. Espérant qu'elle soit plus efficace que des menaces je passais sous ton bras et sans te laisser le temps de réagir je t'embrassais. J’espérais ainsi pouvoir détourné ton attention de l'homme et pouvoir... Et en profité un peu.

J'ecarquillais les yeux et ouvris la main, laissant l'homme retomber lourdement au sol. Mes bras vinrent lentement enlacer ta nuque alors que je collais mon corps au tiens, la folie refluant petit a petit de mes yeux. Ses levres, sa langue, son corps... Je fermais doucement les yeux, repondant maladroitement a son baiser avec un petit gemissement.

L'homme au sol suffoquait mais je m'en foutait je lui fila un coup de pied en passant ma main dans tes cheveux. Mon pouls c'était accélérer et ma main libre passa sur serrant ton bassin contre le miens.

Mon souffle devint hératique alors que je commencais a onduler inconsciement contre elle. Mais... Qu'est-ce qu'elle me faisait ? Je ne comprenais pas, j'avais juste tres chaud, mon coeur battant a cent a l'heure et j'avais besoin de quelque chose que je n'identifiais pas. Quelque chose que seule elle pourrais me donner, je le pressentais.