La seconde bataille sur Bizardos.

Nos souflle s'entremêlait, j’étais à califourchon sur de cette femme dont je ne connaissais même pas le nom. Elle était totalement nue les yeux mi-fermer, m'observant. Cette femme était magnifique, totalement soumise à mes envie. Pourtant...
Je secouais la tête.

Ne pense pas à ça.

Pourtant je n'arrivais pas à me sortir Akasha de l'esprit. Pourquoi ? Je serrais les dent et embrassa furieusement la femme. Je sentie son bassin qui s frottais au miens.
Je ne comprenais plus rien.

Je ne me comprend plus.

Je fermais doucement les yeux. Serait-ce juste une inquiétude ? Ou... Non... Impossible.
Soudainement je ressentie comme une sensation étrange. Juste au moment ou tu produisait ton onde de choc. Je releva la tête en plissant les yeux.

« Que ce passe-t-il ? » S’inquiétât mon amante d’un soir.

Je m’ébrouai légèrement et reposa mes yeux sur elle.

« Rien, reprenons. » Je lui fis un sourire aguicheur avant de replonger vers ces lèvres. Concentrant mes pensée sur son corps.

Le sex pour le sex.
Voilà c'était tout. Je ne voulais rien de plus et je n'aurais rien de plus.
J'observais la Brune allongé nu et endormie près de moi.
Quelqu'un de bien assurément. Je soupirais et me redressais. Je glissa hors du lit nos vêtements était éparpillé un peu partout à même le sol. Je récupérais mes sous-vêtement et mes vêtements pour me rhabiller. Mais je suspendit mon geste en observant la porte de la salle de bain.

Une bonne douche me ferais le plus grand bien.

Je posais mes vêtement sur la petites tables au milieu de la pièce et pénétra dans la salle de bain. Je me decida pour la douche.
Plus rapide.
J'actionna le bouton d'eau chaude et laissa l'eau glisser sur ma peau. Puis je posa ma tête sur le carelage frais les yeux clos.

Comment en étais-je arrivé la ?

Après une longue douche, je ressortis pour me rhabiller. J'observais à peine la femme endormis et sortis de la chambre en emportant avec moi une canette de bière du frigos, elle pouvais bien m'offrir ça. Cependant j'avais à peine fait quelques mètres dans le couloir que l'explosion retentis.

Akasha.

Ça m'était venue tout seul, comme si c'était l'évidence même. En quelques secondes des centaines de gens se mirent à courir dans les couloirs. Emportant valise et enfant.
Je soupirais.

Incapable de se tenir tranquille.

Je marchais dans le couloir. Ça faisait longtemps que je ne paniquais plus pour ce genre de choses.
C'était comme à la guerre. Il fallait toujours rester calme. Même si à l’intérieure l'inquiétude régnait.
Je décapsula ma bière et en bus une longue gorger. Je descendit d'un étage pour aller récupérer les filles. L’Orange ne semblait pas paniqué plus que ça. Par contre la Princesse semblait totalement désorienter.
Sans un mot je les emmenai avec moi descendant au premier étage.
Je repéra facilement Akkasha, la seule personne accoudé au bar du hall à siroté un verre.
J’accélérait le pas et la rejoins rapidement. Je lui arracha le verre des mains et le posa à côté. L'observant droit dans les yeux.

« A quoi tu joues ? Tu empeste l'alcool. »

'avais dit cela d'une voix dur et froide.

« Qu'est-ce-qui c'est passé ? »

Une lueur sauvage passa dans mon regard. Mais je me contentai d’arquer un sourcil.

« C’est quoi ça ? Une crise de jalousie ? »

J’avais presque dit ça en plaisantant. Mais je n’appréciais pas du tout ce que tu avais dit. Je te pris de nouveau la bouteille des mains, la lâchant au-dessus du sol. Elle se brisa au sol en mille morceaux. Je ni accorda aucun regard.
J’ignorais totalement tes Griff’ fixant mon regard sur toi. S’ils voulaient m’attaquer, qu’ils le fassent.
Faisant glisser une lame contre mon bras j’en attrapai le manche. Maniant la lame avec dextérité pour me détendre.
Je dardant mon regard froid dans le tiens qui l’était tout autant.

« Tu sais, si tu me détestes à ce point, tu devrais me tué non ? Ça serait tellement facile pour toi. Et puis après tu te sentirais mieux. N’est-ce-pas ? »

Je parlais avec un grand sourire, la colère brulant dans mon regard.

Je fulminait. Elle partait comme ça sans avoir fini. Non elle ne partait pas elle Fuyait. Comme d'habitude. Je jura.

Le monde ne tourne pas autour de toi.

Et sans attendre quoi que ce soit de la pars des deux autres filles je m'élançait.

« J’ai pas fini… »

Je courrais derrière toi, et juste au moment ou je croyais te rattraper. Un homme qui m'était totalement inconnu t’entraîna dans une ruelle sombre.

C'est quoi ça encore.

Je m'avança dans la ruelle voyant l'homme et sont regard d'animal. Je compris vite ces intentions et fit rapidement le lien avec ce que tu avais dit.
Tu ne faisait as un mouvement entre ces bras. Et ma colère redoubla.
Contre lui.
Contre toi.
Alors sans rien attendre, je l’agrippa par le bras et le tira vers moi avant de le plaqué contre le mur.

« Ecoute mon pote. Tu vas gentiment te cassé d’ici s’en faire d’histoire. » Je plaça doucement ma lame contre ces partie génitale. « Ou je te promet, que je te les coupes. » Je fis un grand sourire cruel.

J’avais dit ça d’une voix remplie de cruauté, mes yeux étaient devenus aussi sombre que la nuit. Et l’homme terrorisé acquiesça rapidement. Mes ongles planté dans son bras lui entaillais la chaire. Alors sur un autre sourire je le relâcha et il s’enfuit sans un regard en arrière.
Alors quand il fut loin je me tourna vers toi et t’attrapai par le colle pour te plaquer contre le mur presque violament.

« Je vais reposer ma question et tu vas répondre. A Quoi Tu Joues ? »

J’eus un rire jaune.

« J’ai juste sauvé la vie de cet homme. Si j’étais resté sans rien faire, tu l’aurais d’abord laissé coucher avec toi. Et après tu l’aurais tué sous prétexte qu’il t’ai violé. »

Je me laissai repousser sans rien faire avant de reprendre d’une voix toute aussi froide.
« Effectivement, je couche avec qui je veux. Sauf que moi j’en ai l’habitude. Je sais ce que je fais. Pas toi. » Je fronçais les sourcils. « Et si je veux, je peux me faire du souci pour toi également. »

Je m’approchais de nouveau de toi. Nos visages n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre.

« Tu ne sais pas ce que tu veux. Et en plus tu ne tiens pas tes promesses. »

Je tiqua à l’une de tes paroles. Ce que tu avais dit m'avait blesser mais je n'avais rien fait paraître, oubliant même le fait que tu t'était toi même démentie.

« Même pas amie…Hein ? » J’avais à peine murmuré.

Je m’écartais.

« Très bien, si c’est ce que tu penses je me demande encore ce que je fais avec vous. Mais je ne fuis pas, pas comme toi. » Je me retournai. « Je pars c’est tout. »

Ma voix était froide, elle donnait l’impression que je m'adressais à une inconnue.
Je ne me retournais même pas, mais avant de sortir de la sombre ruelle, je lâchai un murmure.

« Je n’aurais jamais du te faire confiance. »

Et je m’en allai complètement, courant dans les rues le plus vie que je pouvais. Jack m’attendais déjà à la lisière de la forêt je le siffla et il me rejoignit. Puis sans un regard en arrière je m’enfonçais dans l’une des ruelles, aillant pour but, le prochain ferry qui partirais loin d’ici.

Je n’eus le temps de rien faire que tu m’avais déjà menotté. Je grinçais des dents. Ma faiblesse flagrante me pesait.
Mais je me ressaisie en écoutant ce que tu avais à me dire. Une bonne partie me blessa mais je ne dit rien. T’écoutant juste. Finalement je pris la parole.

« Il n’a jamais été question de te détester, je te l’ai déjà dit… » Je ne voulus pas continuer ma phrase as question. Ma voix n’était plus aussi froide qu’avant mais je ne quittais pas tes yeux des miens. « Mais qu’est-ce-que tu veux dire par plus qu’une amie ? » Je fronçais les sourcils n’étant pas sûr de comprendre. Avant de reprendre.

« De plus vous n’avez pas besoin de moi pour défendre la Princesse. D’une pars toi tu es assez forte pour la protéger de qui que ce soit, et d’autre pars je suis trop faible à l’heure actuel. Et je ne possède pas de magie. »

J’avais apporté mon propre jugement sur ma personne les sourcils froncer comme si je parlais de quelqu’un d’autre.
Je frottais mes poignais en t’observant Jack n’avait as réagis, nous laissant à nos dispute. Cependant il se tenait sur ces gardes et était poster juste à côté de moi.

Quand tu m’appelas comme quand tu le faisais quand nous étions enfant, mon cœur ce serra et un flot de souvenir me submergea. Et sans vraiment contrôler mon geste, comme s’il avait une volonté propre, je passai quelques doigts derrière ton oreille pour y replacer tes cheveux, frôlant légèrement ta joue au passage. Comme quand nous étions petites.

« C’est normale que tu es peur de ton père. Il est puissant. Et sacrément con. » Je marquai un pose et soupirais. « Et je n’appellerais pas une nullité une fille qui à réussie à détruire tout un bar à elle toute seule. » Puis je repensais à ce que tu avais dit et ma main retomba le long de mon corps.
« Je ne t’ai jamais détesté. Et tu n’as jamais été un poids pour moi. Crois-moi. »
Et j’ajoutai en murmurant. « Même si tu peux être un vrai emmerdeuse parfois. »

J’avais dit ça avec un demi-sourire.
Soudainement tu agis bizarrement. Tu pointas un doigt sur mon cœur et une chaine si enfonça sans que je ressente la moindre douleur.
Puis tu t’écroulas, comme vidé de toute ton énergie. Et je te rattrapa par les épaules avant que tu t'étale complétement les yeux écarquillé.

« Qu’est-ce-que, tu viens de faire ? »

Je fronçais les sourcils.

« Une de tes capacités… ? »

Je tâtai ma poitrine, sans comprendre.

Qu’est-ce qu’elle a fait... ?

Mais je n’eus pas le temps d’y réfléchir d’avantage que tu t’effondrais de nouveau.

« Tu ne tiens plus sur tes jambes dit m-… »

Tu venais de posé ta main sur ma joue. Je n’osais dire quoi que ce soit écoutant juste. Le cœur se serrant.

Non ne craque pas.

Mais ta main sur ma joue me m’était à mal. Heureusement tes paroles me changèrent les idées.
Et à tes derniers mots je serais les poings.

« Tu veux le laissé gagner c’est ça ? Je t’interdis de faire ça. Si u ne veux pas être une lâche bat toi. Sinon ça n’en vaut pas la peine. » Ma voix était dure, mais devant ton air triste je me calmais. « Et puis maintenant tu n’es pas seule… »

Je disais rarement –voir jamais- ce genre de paroles. Mais te réconforter me ramenait une nouvelle fois dans le passé. Même si maintenant...

Tout est diffèrent.

J'observa ta main retombé le long de ton corps, mais je secoua légèrement la tête avant de commencé à pensé à des choses bizard.
Je te donna une pichenette sur le front avec un sourire.

« Idiote. Si tu es un démon tu peux le battre. Les chiens ne font pas des chats ne l’oublie pas. »

Puis mon sourire s’effaça progressivement.

« Il n’y a pas que moi, il y a la Princesse et l’Orange… Et puis je préfère m’éloigné de vous. Je ne vous apporterais que des problèmes. »

Je soupirais.

« Et c'est pas comme si vous n'en n'aviez pas assez. »

Elle se sentait terriblement inférieure de son père, je soupirais.

« Tu t’avoues vaincu trop facilement Akasha. »

Mais surprise par ta réaction je t’observais, de toute manière c’était foutu je ne pouvais plus partir, je savais qu’elle pouvait m’en empêcher avec ces petit tour de passe-passe.

« Et puis de toute façon c’est pas comme si j’avais le choix… Je resterais avec vous. Pour l’instant…»

Je soupirais une nouvelle fois. Puis je me repris et m’approcha de toi prenant ton menton entre tes doigts pour le retourné vers moi, je m’interrogeai sur un point.

« Maintenant qu’il sait quoi … ? »

Je fronçais les sourcils. Je m’interrogeai trop à ton sujet, je ne comprenais pas quel message tu essayais de me faire passer.