La seconde bataille sur Bizardos.

Je la lachais. Je ne pouvais pas faire ca. Je ne le voulais pas.

- Si tu en parle, si tu ne fais que meme penser a en parler, je le saurais. Et je te tuerais.

Je serrais les dents. Mais je ne pu resister, m'agenouillais pres d'elle et lui caressais doucement le dos.

- Désolé... Je... Ne voulais pas te faire pleurer... Tu n'aurais pas dû voir ca...

Je soupirais.

- Désolé. Je sais bien. Allez, calme-toi.

J'essuyais ses larmes de mon pouce.

Je la serrais contre moi, caressant doucement ses cheveux.

- Ca va aller...

J'avais laisser beaucoup de temps aux deux filles. Mais le temps nous en avions peut. Alors après avoir patienté devant la forge adossé négligemment au mur je me redressais et partie dans la direction des deux filles.
Après quelques minutes de marches je les retrouvais facilement, dans les bras l'une de l'autre. Je me stoppais et m'adossais à un arbre tout proche.
Patientant quelques instants de plus. De toute manière... Nous n’étions spas a la minutes près...

J'observais la jeune fille, ne voulant pas la brusquer en la lachant comme ca. Je pris simplement sa main en m'ecartant un peu.

- On devrait la rejoindre. Et... Je te fais confiance hein.

Je me dirigeais alors vers Akiko.

- Alors, tu es décidée a me dire ce que tu voulais ? lancais-je en souriant.

(J'embarque dans ce rpg genre 31 pages après xD)


Le sommet des dieux suivaient le destin des 4 jeunes filles. Et ces dieux savaient qui ne manquait a ce groupe un seul membre pour les aider. L'une d'elles était différente des trois autres, et le cinquième membre l'était aussi. Pendant la nuit, une boule lumineuse avait traversé le ciel étoilé et avait finit sa course dans la forêt. Une grande secousse avait résonné dans tout le pays. De ce cratère encore fumant, une personne avait reprit ses esprits. Un corbeau perché sur un arbre observait la scène. Pour les habitants de ce pays, c'était Wotan le chef des dieux qui observait par l'oeil de l'un de ses corbeaux, Hugin et Munin. Et c'était bien ce corbeau, Hugin, qui observait cette scène. Une jeune femme en sortie de ce cratère formé par sa chute. Brunehilde ne se rappelait pas le pourquoi de cette chute. Ses souvenirs commençait à refaire surface en dedans d'elle. Elle revoyait quelle avait sauvé Siglinde d'une mort certaine, sa demande auprès de ses soeurs à l'aider à sauver cette femme spéciale, l'ordre quelle donna à son cheval de transporter loin de la fureur de Wotan, l'agitation soudaine de ses soeurs face à la colère de leur père, son père Wotan lui disant quelle avait désobéit et le chatîment réservé à elle, puis le baisé de son père ainsi le vide et le néant. Son père lui avait assuré que ses pouvoirs serait plus en dedans d'elle que si elle retrouvait l'amour. L'amour ? Non, ce ne peut pas être ça. Elle s'assura quelle pouvait utiliser ses pouvoirs encore. Elle tendit son bras droite et ouvrit la paume de sa main. Une éclaire frappa l'arbre qui tomba à terre. La présence de son père était proche. Elle se retourna et vit le corbeau Hungin qui l'observait.

* Pourquoi mon père voudrait m'observer ?*

Le corbeau s'envola et se posa sur son épaule.

*Brunehilde ! Je t'ai puni et ainsi fait de ta sentence un séjour parmi ce peuple. Tu souffriras de la douleur comme ces hommes et ces femmes qui peuple le pays. J'ai tâché à ce que tu gardes quelque pouvoirs mais pas plus quand tu étais une guerrière du Vahalla. La faim et la soif seront tes ennemis, seul la sagesse pourra te guider.*

Puis le corbeau s'envola de nouveau et disparût dans la nuit. Brunehilde resta-là à songer quelle est devenue comme le peuple qui adore son père dans leur temple. Elle n'avait plus sa lance de guerrière, seul ses pouvoirs était sa défense. Elle ne savait où aller et où devait-elle commencer. L'instinc lui conseilla de marcher vers l'est et d'aller vers le sud. Sans perdre de temps, elle se mit en route pour trouver un village, ville où elle saurait commencer. Au matin, elle arriva sur une colline entouré d'arbre. Sans trop savoir faire, elle se concentra et fit construire une maison avec les ressources proche des lieux. Puis elle se demanda si elle pouvait refaire cela pour un puit. Rien ne se passa comme prévue. La maison était petite et cela lui convenait bien pour l'instant. Un lit, une table et une chaise était le seul mobillier de cette maison. Wotan avait dit vrai, ses pouvoirs étaient limité. Sans perdre de temps, elle observa autour d'elle, dans l'espoir de voir un village ou une ville. Elle vit une grande ville à peu près 30 km d'ici, elle ignorait tout que c'était la capital de la province où elle avait attérit. Après des heures de marche, elle arriva enfin. Entrant dans la cité, elle chercha un marché. Pendant quelle marchait, les gens regardait la jeune fille. Elle était pas comme eux. Leur yeux equisiteur la pertuba, au point de faillir rentrer dans un mur. Avant d'aller au marché, elle voulait s'arrêter à la forge. Ce quelle vit était étrange, trois fille de différente couleur, une qui apparaît de nul part et une disperssion étrange vers la forêt en dehors de la ville. Sans porter plus attention, elle se présenta au comptoir du forgeron.

- J't'ai jamais vu, fais-tu partie de la troupe des folles de tantôt ?

Brunehilde ne comprenait pas.

- Euh non... Je suis nouvelle et un peu perdue et j'voudrais que vous me forgiez une lance s'il-vous-plait.

Le forgeron s'empressa de forger la lance aussi vite qui peut.

- Tenez et partez !

Puis il disparût dans une pièce du magasin. Brunehilde alla au marché et reprit la route vers sa maison en haut de la colline. Ayant des provision et une arme, elle pouvait commencer sa découverte de ce monde quelle ne connaissait pas.

(Réfléchiiit.... Ah oui un violet comme couleur =D)

Brunehilde était dans sa petite maison et préparait à allumer un feu, car elle sentait ce nouveau phénomène d'avoir froid comme les autres mortelles. Alors quelle plaçait sa main avec la paume bien ouverte en direction du foyer, elle vit par le châssit une fillette qui se dirigeait vers sa maison. Qui était-ce ? Un ennemie ? La fille de l'ennemi de son père ? Elle se dépècha d'aller se cacher à côté de la porte, de sorte que la fille ne la voit pas. Ayant sa lance dans ses mains, elle était prête à attaquer cette personne.

*Qu'elle prenne garde à moi, car elle ne sait pas à qui elle peut avoir affaire.*

( Kakyo, Akasha a recuperer l'épée bebete xD Elle l'a touché et l'épée a regagner son corps ! x)

Je soupirais en la voyant partir. Ralala, elle avait vraiment la bougeote elle.

- Bon, tu me dis ce que tu voulais ou pas ?

J'observais la Princesse s'éloigner. Puis mes yeux se déportèrent sur Akasha et je sourit.

« Je pense que tout à été dit. » Je sourit et me penchai vers toi. Mes lèvres frôlèrent très légèrement les tiennes puis je me redressais dardant mon regard sur l'épaisse foret.

« On devrait la rejoindre. Elle pourrait faire de mauvaise rencontre. » Je te sourit.